mercredi 10 octobre 2012
Les trucs beaux. (À côté des autres.)
Simon Kenny, de l'apnée neuronale : http://www.saatchionline.com/profiles/portfolio/id/257544 .
Le regard heureux de Robin, 3 ans (et aimant se coiffer délicatement les cheveux bouclés au-dessus des oreilles), lorsqu'il demande à la pote chez qui je suis de mettre une robe à elle, qu'une fois la robe mise son père pas très à l'aise n'arrête pas soudainement/binairement de le féminiser, « mais oui tu es belle ma chérie », et lorsqu'il vient me voir moi de lui dire : « tu es aussi beau que belle, tu es tout ce que tu veux tu sais ».
Romka [merci les futées de Grante Egle] : http://romkamagazine.com/ .
Le prof qui dit : « wah tu as complètement fait cramer cette photo par la lumière », j'aime l'idée d'être cramé par la lumière et n'entends plus ce qu'il continue de dire.
Peut-être ceci samedi : http://www.fif-85.com/film/fif-20122012/4h44-dernier-jour-sur-terre.html .
Regarder les personnes seules à la pause de midi : une femme qui marche lentement le long d'un grand balcon en fumant une clope, une autre fille sur un autre balcon qui fume assise à une chaise, une fille appuyée contre l'embrasure de la grande porte sur rue de son taf.
"Road cut" de Joe Deal, regardé très longtemps : http://24.media.tumblr.com/tumblr_mboyg3tQ2t1qzt15co1_1280.jpg .
Ce passage de "20 000 lieues sous les mers" de Jules Verne, lorsque Aronnax va marcher sur le sol océanique : « J'observais que toutes ces productions du règne végétal ne tenaient au sol que par un empattement superficiel. Dépourvues de racines, indifférentes aux corps solides, sable, coquillage, test ou galet, qui les supporte, elles ne lui demandent qu'un point d'appui, non la vitalité. Ces plantes ne procèdent que d'elles-mêmes, et le principe de leur existence est dans cette eau qui les soutient, qui les nourrit. »
Un beau travail de remixes de titres de Philip Glass, dont le très beau "Warda's Whorehouse" repris par Amon Tobin qui me fascine toujours autant depuis 10 ans : http://youtu.be/a7AVYpbESR0 .
Angel Olsen (écoutes nocturnes) : « And like a ghost that hangs around and won't forgive it's earthly sins, I carry on this love for you. It's how my body lives. »
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