Je me réveille ce matin 1h30 avant le réveil. Avec une idée, une sorte d'allégorie.
Nous avons deux ventricules cardiaques, imaginons pour la fonction d'aimer. La fulgurance des premiers grands amours dédie entièrement les deux ventricules à la personne aimée, ultra puissance unidirectionnelle, l'équilibre chavire à un moment ou un autre. Je réalise qu'aimer profondément nécessite peut-être deux ventricules de cette façon :
> un ventricule pour la personne aimée
> l'autre ventricule pour s'aimer soi-même.
Lorsque les deux battent pleinement, l'équilibre détient son apesanteur. Ce qui n'exclut pas qu'un ventricule aide l'autre et vice versa (d'où leur contiguïté), probablement le laisser-aller du musculus ventricularis.
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