mercredi 2 juin 2010

Eteindre la journée.


 

Paris, worktime.
Observer « les gens » pour minutieusement les comprendre, mais rarement les ressentir.
Percevoir qu'ils attendent que je participe à l'Insensé, mais aujourd'hui encore expression figée ou furieuse envie de fuite.

Derrière mes yeux qui tentent de ne pas dévier de leurs regards, il y a des contrées lointaines.


Mais « les gens » de l'autre côté de mes yeux déversent des paroles saccadées, des regards en torpilles, des rires d'acier, des petites idées dans des grands concepts.
Et tout cela dans une chute sans fin.

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