vendredi 28 décembre 2012
Anamorphe.
Ma persistance rétinienne me montre des oiseaux.
70 % des nouveaux-lles assistant-e ne sachant pas bien m'enlever mes futes les déchire, je sature de suturer.
Danser principalement en triangle.
Comment se déshabiller du caméléon ?
J'ai le sexe qui grince.
Une bombe neuronale à la place du cerveau.
Cette chemise, oui oui.
Hier ai rangé ma piaule, triant des dossiers de notes de travail, des théories polymorphes, des architectures intellectuelles, des propagations paysagères.
Qui n'ont servi à rien. Ai tout jeté.
(Le playground est dans ma tête maintenant, c'est une galaxie, libre d'accès à qui sait vraiment jouer en astronaute.)
Chaque ligne architecturale est une portée musicale, chaque mouvement urbain un accord.
« Growing up is difficult. Strangely, even when we have stopped growing physically, we seem to have to keep on growing emotionally, which involves both expansion and shrinkage, as some parts of us develop and others must be allowed to disappear... Rigidity never works; we end up being the wrong size for our world. »
-- Jeanette Winterson, "Why Be Happy When You Could Be Normal?"
Ahah yes.
J'achète des vinyles de classique à ce monsieur qui a une belle collection privée, il s'enquiert de ma faible quantité de sommeil, je lui réponds qu'il y a trop de musiques sublimes à écouter sur Terre pour se laisser à aller dormir.
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