la musique ne sauvera pas
mais aimera toujours caresser le capillaire des envolées, fuir avec elle pour une valse gorgée du poul le plus brillant,
tes veines clignotent
et mesure à cela l'amplitude de tes écarts au sol,
sa fidélité sourit de la naïveté à se vivre comme une balle de squash se croyant toujours encadrée d'une baie vitrée qui n'explosera jamais
sauf
le jour où ta pensée se fera brise-glace plutôt qu'à marteau-piquer les maintenant qui pourrissent entre les dents
mâche mâche et crache un lac assez large pour noyer quelques utopies javelisées et mouiller les peurs
que(ue) de toute façon la musique détrempera en nuances
que ton iris archive pour te faire une surprise
une belle prise de judo où tu chuteras d'apesanteur, rigolant rigolant ah oui rigolant à paumes douces déployées
si je ne suis plus là tu connais la direction du ►
la musique ne sauvera rien
mais tu la sauveras au bout de ton sternum, à quelques sillons loin de l'absurdité si tu oses danser illimité
accueille recueille
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